People have the right to know about potentially toxic or cancer-causing ingredients in the products they use. By requiring product manufacturers and service providers, such as dry cleaners, to disclose the substances they use, we can help people make safer product choices and create an incentive for companies to find better alternatives. This will also help to keep toxic ingredients out of the waste stream, making it safer to recycle and reuse products. Finally, we also shouldn’t be breathing toxics, especially when they form a chemical brew. That’s why the government needs to pay closer attention to the cumulative impacts of multiple sources of air pollutants when issuing emission permits to factories, refineries and other air pollution sources.
- Improve the public’s right to know about toxics by requiring full ingredient disclosure on product labelling and full disclosure of chemical use by dry cleaners.
- Ensure companies have a strong incentive to eliminate toxics through the extended producer responsibility measures found in the newly passed Waste-Free Ontario Act.
- Require an assessment of cumulative impacts before issuing new air emission permits.
Information contact:
- exiger l’étiquetage de tout produit contenant des agents cancérogènes afin d’inciter les entreprises à fabriquer des produits plus sécuritaires. Les consommateurs informés choisiront de faire affaires avec des entreprises qui n’ont pas recours à de tels agents. Il faut commencer par les catégories de produits les plus problématiques (ex. : les produits de nettoyage), puis rendre l’étiquetage obligatoire pour tous les types de produits de consommation;
- établir les exigences en matière de listes et d’étiquetage à partir des données probantes d’autorités sanitaires reconnues à l’échelle internationale comme Santé Canada ou le Centre international de recherche sur le cancer;
- supprimer l’échappatoire de la « fragrance » en exigeant la divulgation de tous les ingrédients utilisés dans la fabrication de produits cosmétiques. Il faut mettre fin à la pratique qui consiste à dissimuler des ingrédients – incluant des toxines – dans la catégorie générique de « fragrance ». C’est le cas de toutes sortes de produits de consommation, dont des shampooings et des crèmes à raser.