Studies have shown that green infrastructure, such as healthy urban forests, leads to more liveable communities – enhancing physical and mental health, improving our kids’ learning abilities, and providing us with a better quality of life. Planning and maintaining more liveable communities and curbing sprawl must be a priority in the face of a changing climate. Urban forests made up of all of the trees and shrubs found along streets, in front and back yards, in parks and in ravines and other natural areas, reduce flooding and stormwater costs, improve air quality and reduce temperatures. More compact communities deliver benefits that include better transit utilization and the preservation of important natural areas. But despite growing recognition of the incredible value of urban forests and other natural areas and the high costs of sprawl, we need to do much more to safeguard the liveability of our communities. We need to make sure that provincial policy and provincial agencies put green infrastructure and stopping greenspace-destroying sprawl first to help us build climate resilient — and healthier — communities.
To build sustainable climate resilient communities, the province must:
- Work with municipalities on a province-wide urban forest strategy in order to preserve and grow our immensely valuable — but increasingly at risk — urban forests.
- Ensure that green infrastructure, such as urban forests, qualifies for provincial infrastructure funding and support municipal efforts to proactively manage green infrastructure as assets through research and sharing of best practices.
- Mandate a green infrastructure-first approach to providing urban services such as stormwater management and cooling.
- Ban the expansion of urban boundaries within both the Greenbelt and the Whitebelt for 10 years.
- Require all planning decision makers, including the Ontario Municipal Board, to more stringently consider environmental sustainability and climate impact in their decision making.
- Extend the Greenbelt Natural System throughout the Greater Golden Horseshoe and take the lead on mapping a regional-scale natural heritage system.
- modifier la Loi de 1997 sur les redevances d’aménagement pour faire en sorte que les acteurs de l’aménagement paient tous les coûts associés à l’aménagement. Il s’agit notamment de mettre fin aux contre-productives réductions et exemptions de frais perçus par certains services municipaux. Aussi, les frais perçus doivent refléter les services accrus – par exemple en matière de bibliothèques et de programmes de loisirs – que demande une population croissante. La divulgation annuelle des montants potentiels et réels perçus par les municipalités en redevances d’aménagement doit aussi être exigée pour assurer une plus grande transparence des administrations municipales;
- faire en sorte qu’il soit financièrement intéressant d’aménager de nouveaux développements là où ils pourront être desservis efficacement et à moindre impact sur l’environnement en utilisant les réductions de redevances d’aménagement pour proposer des mesures incitatives au développement intercalaire et au développement de plus haute densité. Inversement, les redevances seraient majorées en cas d’aménagement de terres agricoles – particulièrement de terres agricoles de classe 1 ou 2 – ou d’espaces verts à l’extérieur des régions urbaines existantes, car la construction et l’entretien de l’infrastructure y coûtent beaucoup plus cher;
- encourager des collectivités complètes qui sont efficaces, durables et écologiques. Le régime de redevances d’aménagement peut être utilisé pour offrir des incitatifs aux promoteurs qui aménagent le territoire efficacement et qui adoptent les principales normes en matière de construction écologique pour réduire la consommation d’eau et la production d’eaux usées, utiliser l’énergie efficacement, réduire la superficie pavée et diminuer les dépenses en immobilisations initiales et les coûts du cycle de vie de l’infrastructure;
- garder des aliments sains dans les collectivités en récompensant les promoteurs qui accommodent l’agriculture urbaine, des jardins communautaires et les détaillants alimentaires. Là où l’aménagement du territoire détruit des terres agricoles de première qualité, une partie des montants perçus en redevances d’aménagement de premier niveau pourraient être affectés à la protection permanente d’aires du patrimoine agricole et du patrimoine naturel situées ailleurs dans la collectivité.
Des ressources supplémentaires
Contacts d’information Cherise Burda Pembina Institute cheriseb@pembina.org 416-644-1016